L’histoire tourmentée d’objets religieux en Pays-de-la-Loire

En parallèle de la tenue du colloque « Objets chrétiens en conflits (XVIe-XVIIIe siècles). Approches croisées », à Angers (17-19 octobre 2018) et sous la direction de Marie Lezowski (TEMOS, Université d’Angers) et de Yann Lignereux (CRHIA, Université de Nantes), des conservateurs, des historiens et des historiens de l’art retracent le parcours tourmenté d’objets chrétiens de la région Pays-de-la-Loire. Comment les images, reliques, objets de messe et autres tapisseries sont-ils parvenus à traverser les siècles, les vicissitudes des guerres, les transferts et changements d’affectation, pour parvenir jusqu’à nous ?

La grande châsse de Notre-Dame de Cunault

Église d’un ancien prieuré dépendant de l’abbaye bénédictine de Saint-Philibert de Tournus, fondé en 875, Notre-Dame de Cunault est l’une des manifestations les plus remarquables de l’art roman en Anjou. Bénédicte Fillion-Braguet (CESCM, Poitiers) analyse ici la grande châsse de Notre-Dame de Cunault.

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Trois statues mutilées conservées dans la cathédrale de Luçon

Luçon est surtout connue pour le plus fameux de ses évêques, Armand Jean du Plessis. Le nom de Richelieu a laissé dans l’ombre la ville et son riche patrimoine. Parmi les nombreux trésors de la cathédrale figure un ensemble de statues mutilées par une attaque iconoclaste à l’époque moderne. À partir de ces œuvres fragmentaires, Marie Lezowski (Université d’Angers, TEMOS) revient ici sur l’histoire de ces destructions. 

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